Responsable du développement
Psychologue de sa formation, Zaruhi est connue dans les milieux professionnels comme une méthodologiste de l’éducation non formelle et formatrice dotée d’une riche expérience locale et internationale. Après avoir été périodiquement formatrice et experte pour divers projets de KASA, Zaruhi a d’abord assumé la coordination de la composante transversale de formation à distance de la Fondation.
Depuis 2020, la gestion générale des projets lui a été confiée. Parallèlement, Zaruhi s’occupe de recherche de nouvelles collaborations, de collecte de fonds, de réalisation d’études sectorielles, de découverte de nouvelles possibilités de développement. “KASA s’est toujours positionnée à l’avant-garde des domaines de son activité, ce qui permet de ne pas craindre d’expérimenter et d’innover”, remarque-t-elle. “Mon travail offre une occasion exceptionnelle de bâtir un avenir meilleur, de rêver, d’étendre les limites de l’impossible, d’échanger, de s’inspirer, d’aller au fond des choses․ J’ai eu la chance de pouvoir changer quelque chose dans mon entourage, ce qui signifie que je me dois de mettre mes compétences au service de changements positifs. Dans mon travail, j’essaye toujours de transformer les difficultés en défis et d’y trouver des solutions. En même temps, c’est un pur bonheur de travailler chaque jour avec des partisans qui ne ménagent pas leurs efforts pour faire tout leur possible et même l’impossible, qui mettent tout leur cœur dans leur travail, qui croient que leur travail apporte un changement dans la vie des autres”, ajoute-t-elle.
En dehors du travail, Zaruhi se ressource en voyageant, en échangeant avec sa famille et ses amis, en écoutant de la musique, en étudiant des jeux éducatifs.
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Chef de projets
Avant de rejoindre l’équipe de la fondation, le spécialiste en gestion de projets Vahram coordonnait les projets jeunesse de World Vision Arménie dans la région de Lori. Après avoir commencé son travail en 2019 en tant que responsable du projet d’éducation civique et coordinateur du centre Espaces, il est actuellement chef de projets.
«Je suis convaincu que la communauté démarre par chacun de nous, comme je suis convaincu que les jeunes sont la force motrice qui peuvent et doivent initier des changements positifs. Je suis heureux d’avoir la possibilité de mettre en oeuvre un projet qui vise à changer vraiment mon Arménie et à la rendre un peu meilleure pour nous et nos enfants», note Vahram.
Pour lui, KASA est avant tout les membres de l’équipe avec lesquels il travaille journellement; il apprécie notamment leur dévouement, leur force collective et les valeurs humaines qu’ils partagent.
En dehors du travail, Vahram aime passer son temps en famille, dans la nature, car la combinaison famille-nature fournit le milieu dans lequel, d’après ses propres mots, il arrive à se ressourcer vraiment.
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Responsable administrative à KASA Erevan
Spécialiste de langue et de civilisation françaises, Amalia travaille à KASA depuis 2017. Outre des fonctions variées en matière d’organisation et de coordination, elle est en même temps “une historiographe” pour les projets: c’est elle qui rédige les comptes-rendus des activités toutes les réunions qui permettent de préserver et de transmettre tous les détails des activités courantes de la fondation.
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«Je suis certaine que la jeunesse active peut créer un avenir meilleur, et cette conviction me motive à travailler avec plus de plaisir, surtout dans une ambiance aussi multiculturelle et intéressante!», note Amalia.։
En dehors du travail, elle consacre son temps à ses deux fils et pratique du sport. [/expand]
Projet d’éducation civique
Vahe, né en Syrie, a passé son adolescence et ses années d’études en Arménie. Il s’est engagé à KASA d’abord comme volontaire du projet Rejoindre la communauté (projet financé par le HCR Arménie), ensuite depuis 2022, comme formateur-mentor et coordinateur de groupes de jeunes dans le projet Jeunes Citoyens d’Arménie, Inovarium.
À KASA, Vahé apprécie avant tout la décentralisation des projets. « Après la guerre de 44 jours j’ai réfléchi aux révisions et aux réévaluations internes, grâce auxquelles j’ai commencé à comprendre pleinement le rôle et l’importance de nos villages dans le maintien de la santé et de la force du pays, et le projet d’éducation civique à KASA y contribue largement ». « L’équipe et les conditions pratiques me facilitent beaucoup mon travail et je suis heureux de pouvoir mettre en avant ma propre démarche créative ».
En dehors de KASA, Vahe aime apprendre des langues étrangères, s’engager dans la lecture et l’analyse professionnelles, rencontrer des amis, photographier principalement des monuments architecturaux et des paysages, organiser des formations ou des réunions de mentorat pour divers groupes sociaux régionaux.
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Iintégration de jeunes réfugiés en Arménie
Politologue, spécialiste de langue anglaise, Mariné est l’une des plus anciennes collaboratrices de KASA; elle a été témoin et actrice de l’évolution de l’activité de la fondation. Ayant accompli diverses fonctions au fil du temps, Mariné a assumé les dernières années la coordination du projet visant l’intégration des personnes déplacées en Arménie à travers l’éducation et l’amélioration des conditions de vie, que KASA mène en coopération avec le HCR (l’Agence des Nations unies pour les réfugiés).
«Améliorer les conditions de vie des gens, encourager la pensée positive, la prise d’initiative et la foi en un avenir meilleur, contribuer à la formation d’une génération et d’une société civile instruites et conscientes»․ voilà les objectifs qui restent pour Mariné à la base de tous les projets qu’elle a coordonnés à KASA.
En dehors de son travail, la peinture, le yoga et la promotion de son entreprise personnelle – création de mandalas, qui lui permettent de relier ses deux hobbies – colorent et diversifient sa vie.
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Iintégration socio-économique de jeunes réfugiés en Arménie
Serly Manouel, économiste de formation, a d’abord coopéré avec KASA dans le cadre du projet d’intégration des réfugiés, en tant que volontaire. Quelques mois plus tard, KASA lui propose de gérer le projet d’accompagnement socio-psychologique des personnes déplacées de force d’Artsakh. Actuellement elle est la responsable de l’intégration socio-économique du projet visant l’intégration et l’autonomisation des jeunes réfugiés en Arménie, que KASA mène en coopération avec le HCR (l’Agence des Nations unies pour les réfugiés).
« La principale motivation de mon travail à KASA réside dans mes contacts quotidiens avec l’équipe et avec les bénéficiaires du projet ».
En dehors du travail Serly est passionnée par les voyages, la communication avec des personnes de cultures différentes, le tennis et la natation. Elle aime passer son temps libre en compagnie d’amis autour d’un repas et mener des conversations plaisantes..
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Coordinatrice Hotline du HCR
Professeur de français et pédagogue, Gayané a travaillé pendant plus de douze ans à l’Ambassade du Brésil en Arménie en tant qu’assistante de l’ambassadeur. Elle a fait la connaissance de KASA grâce au club des francophones puis dans le cadre de la formation des guides. « Tous les mercredis, je fréquentais avec grand plaisir le club des francophones du centre Espaces. J’ai également participé à la formation des guides. J’ai toujours admiré la façon dont les collaborateurs de KASA effectuent leur travail unis avec sourire et responsabilité ».
Gayané a rejoint l’équipe en janvier 2022, et est actuellement la coordinatrice du projet Hotline HCR. Depuis septembre 2025 elle coordonne le projet Promouvoir la francophonie à Erevan. « J’aime mon travail et je le fais avec une grande dose de motivation, car ce travail est basé sur l’humanisme. Je rêve qu’il n’y ait plus de réfugiés, de déplacés dans le monde et que chacun vive en paix dans son pays… »
En dehors du travail, elle aime voyager avec sa famille, découvrir de nouveaux pays et villes, et aussi réaliser diverses vidéos intéressantes avec ses enfants.
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Formation de guides touristiques
Guide touristique et interprète de profession, Lusine a assumé en 2015 la coordination du projet de formation de guides touristiques mené par KASA. «Ayant une idée claire du rôle d’un guide, je me réjouis à l’idée d’avoir mon petit apport dans la professionnalisation du domaine et, plus généralement, dans une présentation décente de l’Arménie».
Dans la philosophie de travail de la fondation, elle apprécie notamment les possibilités d’autonomie et de créativité offertes aux collaborateurs. Aux heures libres, elle étudie l’architecture et la peinture, aime lire et passer du temps dans la nature par tous les temps avec ses filles.
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Soutien à l’éducation
À partir de l’été 2020, Arminé coordonne la composante transversale de formation à distance de la Fondation et la chaîne éducative arménophone en ligne Imastuni initiée pour les formateurs en coopération avec la fondation Paradigma. Et rien n’y constitue un hasard ou une fin en soi: pour Arminé qui considère l’éducation, l’anthropologie, l’identité culturelle et la créativité comme ses faibles, l’éducation, au sens large, constitue l’une des voies menant vers l’identité.
C’est pour cela qu’elle apprécie particulièrement les possibilités offertes à KASA dans le cadre de son activité, à savoir «de pouvoir parler de choses complexes de façon simple, d’être au cœur de l’éducation, autrement dit au cœur de l’avenir-même, au sein d’une équipe complice, de croire et de créer».
En dehors du travail, Arminé prépare sa thèse de doctorat en psychologie, aime beaucoup voyager (physiquement et pas que), dialoguer avec l’Univers, jouer et inventer, car elle estime que les contes sont réels et croit profondément: «C’est nous qui créons le monde par nous-mêmes».
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Formation à distance
Technicienne -ingénieure à la base, Gayane travaille dans le domaine des réseaux informatiques et de la programmation depuis 2006. Ayant rejoint l’équipe de la fondation en 2015, elle assure le bon fonctionnement du réseau informatique de KASA, le soutien technique de sa plate-forme d’e-Learning, la bonne présentation de son site web sur le plan technique.
«J’aime beaucoup mon travail car il m’incite à rester dans le coup, m’oblige à travailler constamment sur soi, à progresser dans mes compétences, bref, à rester jeune», note Gayane qui croit qu’aucune rencontre dans la vie n’est le fruit du hasard, y compris sa présence au sein de l’équipe de KASA.
Elle apprécie notamment la confiance qu’on a à la fondation envers elle et le travail qu’elle accomplit, ainsi que la liberté offerte dane le processus de travail, cette dernière la rendant encore plus responsable et ponctuelle.
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