Monika Sargsyan

Directrice de la Fondation

Monika est engagée à KASA comme directrice depuis août 2023. Son parcours professionnel est très diversifié, façonné par sa passion pour le droit international et les droits de l’homme. Elle détient un Master en Droit de l’Université Française en Arménie ainsi qu’un Master en Droit et Sciences Politiques de l’Université Jean Moulin Lyon 3 en France. Forte de cette formation académique elle a commencé à travailler avec des entités locales privées et publiques, ainsi que des organisations internationales. Cela lui a permis de s’engager dans des systèmes juridiques complexes et d’aborder des questions relatives aux droits de l’homme, apportant ainsi une approche mondiale aux défis locaux.

« En tant que mère de deux enfants, une fille et un garçon, et étant profondément ancrée dans ma communauté, je travaille à KASA avec l’ambition de contribuer à un avenir stable et prometteur, non seulement pour ma propre famille, mais pour les générations à venir.

A KASA, ce que j’apprécie particulièrement, c’est notre engagement inébranlable pour promouvoir la dignité humaine et le respect de chacun. Notre approche s’inspire du personnalisme, qui propose de dépasser à la fois un collectivisme excessif et un individualisme égoïste, en honorant l’unicité et l’autonomie de chaque personne. Elle dicte notre façon d’aborder chaque défi, chaque collaboration et chaque décision, en mettant la personne au centre de notre travail, avec empathie et bienveillance : une personne qui n’est pas seulement responsable d’elle-même, mais aussi du développement de la société et de son pays. Cette approche globale, me permet de faire la synthèse entre ma profession de juriste spécialisée dans la protection des droits de l’homme et mon travail à KASA.

Les défis auxquels nous faisons face sont significatifs, mais je suis convaincue que les humains ont un immense potentiel de changement. Et que, concrètement, l’engagement de KASA suscite des opportunités dont nous sommes loin de mesurer l’impact. Je suis en particulier profondément touchée par la résilience et le dévouement des collaborateurs/trices de KASA, dont la volonté de développer l’Arménie et d’améliorer la vie de son peuple nourrit notre travail quotidien.

Alors, ce qui m’excite le plus, c’est l’effort collectif que nous déployons en tant qu’organisation, forte de valeurs humanistes qui nous permettent d’avoir un impact positif et durable. La meilleure raison de travailler à KASA ? Les gens. Connaissez-vous le proverbe arménien « Si le village se rassemble, ils pourront couper les chevrons. » (« Գեղ կանգնի, գերան կկոտրի: »)? De fait à KASA nous oeuvrons étroitement ensemble, nous nous soutenons mutuellement et nous célébrons nos succès collectifs : un tel sentiment de communauté rend chaque jour de travail extrêmement gratifiant !

Merci de prendre le temps de découvrir KASA. Que vous vous intéressiez à nos projets, souteniez nos initiatives ou soyez simplement curieux de ce que nous faisons, je suis heureuse que vous partagiez de quelque façon notre cette aventure. Plus nous serons ensemble, plus nous aurons un impact significatif ! »

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Anna Tchopourian

Assistante de la directrice

Débutant à KASA en 2007 en tant que secrétaire-traductrice, Anna, spécialiste de la langue française, assume depuis 2009 le poste de l’assistante de la directrice.

«Le travail fait par l’équipe administrative est souvent peu visible, mais très important. La cellule administrative assure, parmi d’autres fonctions, le lien avec le monde extérieur. Dans ce même monde, on nous prend au sérieux ou bien le contraire grâce à/à cause de la qualité de ce travail. J’essaye donc d’accomplir ma tâche de la meilleure façon possible», note Anna.

Parlant de l’ambiance à la fondation, elle remarque: «Je ne me rappelle pas un seul jour où je serais venue au travail à contrecoeur. KASA est plus qu’un lieu de travail, c’est une famille. Si un jour, je suis obligée de travailler ailleurs, ce sera très probablement un vrai choc pour moi. Je suis heureuse d’avoir trouvé ma vocation, ma place: ici, je me sens comme un poisson dans l’eau».

En dehors des murs de KASA, les centres d’intérêt de cette jeune maman sont aussi nombreux que variés: elle fabrique diverses choses à la main, elle coud (surtout de jolis sacs en tissu), elle peint, elle cuisine, elle voyage…

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Hripsimé Tagvorian

Chef comptable

Hripsimé est la plus ancienne collaboratrice de la fondation: elle travaille à KASA depuis 2001, lorsqu’il n’y avait au bureau qu’un seul ordinateur pour tous, le nombre de projets n’excédait pas 5, et celui des employés, 10. Aujourd’hui, il serait difficile de se représenter la fondation sans elle.

«Dans la mesure de mes capacités, j’essaye de faire en sorte que les organismes d’État correspondants ne soient pas en mesure de trouver un seul motif de reproche à notre fondation», note Hripsimé avec l’humour qu’on lui connaît bien. Aujourd’hui, elle transmet mensuellement leurs salaires non plus à 10 mais à 40 collaborateurs. «Et encore une chose: je rappelle toujours à chacun ce qu’il doit faire», poursuit-elle en riant.

Parlant de la philosophie de travail de KASA, elle considère avoir eu beaucoup de chance, car elle a la possibilité de rester fidèle aux valeurs importantes pour elle: transparence, justice, solidarité et tranquillité. En dehors du travail, Hripsimé aime se reposer en tricotant pour ses filles et ses petits-enfants.

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Gegham Yeghiazarian

Responsable financier

Diplômé de l’UFAR (Université française en Arménie), Gegham a rejoint l’équipe de KASA en 2017, afin d’accomplir la gestion des finances et le suivi financier de la fondation.

Parlant de son travail au sein de KASA, il note avec humour: «Comme les représentants masculins sont peu nombreux dans notre équipe, on peut dire que rien que ma présence, c’est déjà beaucoup. Et si on parle sérieusement, je trouve que mon apport le plus important, c’est la hausse des revenus d’investissement, la planification financière et l’épargne, qui se reflètent ensemble dans le bilan annuel de la fondation».

À KASA, il apprécie notamment la liberté dans la prise de décisions et la manière de travailler accordée aux collaborateurs. Et en dehors du travail, il aime écouter de la musique et étudier les marchés internationaux.

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